Smart
En primeur du Salon de Pékin, Smart dévoile son concept #5, un SUV de taille moyenne qui devrait être aussi à l’aise sur route qu’en dehors.
Petite précision utile : « 240 » n’est pas le nom d’un modèle spécifique, mais d’une série. En effet, les coupés à 2 portes étaient baptisés les « 242 ». Les « 244 » et « 245 » désignant, quant à eux, respectivement les berlines et breaks. Enfin, notons que les versions à 6 cylindres étaient baptisées les « 260 ».
1. Voiture la plus propre des USA grâce à une première mondiale
Oui, cette brique fut effectivement élue « voiture la plus propre des Etats-Unis » par le California Air Resources Board. La raison ? La présence, en première mondiale en 1976, d’un pot catalytique !
2. Un moteur VW sous le capot
C’est en 1979 que la série 240 profite d’un moteur diesel. Volvo ne disposant pas d’une telle motorisation, il alla faire son shopping chez VW et en ramena un 6 cylindres diesel de 2,4 l et 84 chevaux. Un moteur notamment connu du LT. Chose étonnante, la Volvo s’appelait toujours « 240 », soit l’appellation habituellement réservée aux 4 cylindres…
3. Le plus gros succès de la firme !
2.685.171 exemplaires écoulés en 19 ans ! C’est la Volvo la plus vendue, et c’est celle qui a donné une réputation en or massif à la marque aux Etats-Unis, le break y étant considéré comme le véhicule le plus sûr de sa taille ! Les 260, au moteur V6 donc, furent quant à elles écoulées à 177.402 exemplaires.
4. La Turbo, une version du parpaing pouvant atteindre 180 chevaux !
La version la plus puissante était la Turbo, au moteur de 2,1 litres boosté à 155 chevaux. La berline fut d’abord la première concernée, avant le break. Mais pour le grand frisson, il était possible de commander un intercooler, qui faisait grimper la puissance à 180 chevaux !
5. Un reliquat du passé jusqu’en 1984 !
Si Volvo a toujours été à la pointe sur les aspects sécuritaires, il est étonnant de constater que le Suédois était a contrario, franchement à la traîne sur d’autres points. On pense notamment à la boîte de vitesses, comptant 4 rapports et un overdrive. Ce dernier système permettait une surmultiplication des derniers rapports, via un interrupteur électrique. Si ce dispositif était très en vogue dans les années 60 sur les sportives britanniques, il était en revanche, franchement démodé dans les années 80 ! En 1985, Volvo troque ce reliquat pour une boîte 5 rapports.
