Jean-Francois Christiaens

5 OCT 2022

Mercedes Classe A : coup de blush

La plus petite Mercedes du catalogue s’offre une remise à niveau. Si le style n’évolue que légèrement, toutes les mécaniques à essence deviennent électrifiées. La variante plug-in gagne quant à elle en puissance et en autonomie.

Quatre ans après son lancement, la Mercedes Classe A profite d’un léger restylage. Esthétiquement, les modifications restent toutefois limitées. On pointera tout de même l’apparition d’une nouvelle signature lumineuse, de boucliers redessinés et de jantes inédites. Mais dans l’ensemble, la Classe A restylée ne se distingue pas facilement au premier coup d’œil de sa devancière.



Vocale et digitale

À bord, non plus, les évolutions ne sautent pas aux yeux. Il faut dire que la Classe A bénéficiait déjà d’un tableau de bord particulièrement moderne. On retrouve donc encore les deux grands écrans de 10,25 pouces (ou 7 et 10,25 pouces sur les versions de base). Mercedes annonce toutefois encore améliorer le fonctionnement du système d’infodivertissement MBUX en lui offrant de nouvelles fonctionnalités et en améliorant l’efficacité de sa reconnaissance vocale. De plus, à partir du 1er trimestre 2023, la Classe A ajoutera aussi comme ses récentes grandes sœurs une petite zone de reconnaissance digitale sur sa planche de bord pour identifier son conducteur.

Encore plus électrifiée

La Classe A profite aussi de l’occasion pour moderniser son offre mécanique. Toutes ses motorisations à essence héritent notamment d’une micro-hybridation 48 volts offrant un petit coup de boost de 10 kW (14 ch), même sur la version A 35 AMG (mais pas sur la radicale A 45 AMG). Enfin, notons que la version hybride rechargeable A 250 e gagne un moteur électrique plus puissant (80 kW dorénavant, soit 109 ch). Elle voit aussi son autonomie électrique WLTP grappiller quelques kilomètres supplémentaires (de 70 à 81 km en Hatchback voire de 72 à 82 km en Berline) avec sa batterie de 15,6 kWh.

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