Difficile, pensez-vous, de faire plus flamboyant qu’une Lamborghini Aventador ! Et bien pourtant, sachez qu’en Italie, il n’y a rien d’impossible à ce sujet… Décapsulez l’engin en question et vous obtiendrez l’une des plus extravagantes supercars qui soit ! S’il n’y a, pour l’instant, rien d’officiel, il se pourrait fort que le monstre en question vienne s’imposer comme fantasme pur dès l’année prochaine !
Monstre sacré
L’Aventador fait partie de ces engins singuliers dont la fonctionnalité est inversement proportionnelle aux performances. Monstre sacré car héritier d’une longue dynastie de supercars affriolantes, l’Aventador fait de cette race mythique d’engin que rien, ou pas grand-chose, ne semble capable de surpasser. La Gallardo ne peut prétendre à cette distinction suprême. L’Aventador, c’est surtout et avant tout, un V12. Un V12 comme Miura, comme Ferrari contre Lamborghini, comme ce bruit à nul autre pareil, sonnant une charge forcément héroïque. Et d’héroïsme, il en est question lorsqu’il s’agit de prendre les commandes de ce monstre : 700 chevaux, 350 km/h et le 0 à 100 km/h avalé en moins de… 3 secondes !
Brutale !
En tronçonnant son toit, l’Aventador perd en finesse ce qu’elle gagne en brutalité. Probablement surmonté d’une capote réclamant des aptitudes de campeur confirmé, le monstre sacré perdra également le peu de praticité qui lui restait. En revanche, l’expérience du V12 hurlant à admission déployée, cheveux au vent, risque de s’incruster au fer rouge dans la mémoire des rares privilégiés qui en prendront le volant.
Il nous tarde d’avoir la version officielle…