Ferrari
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Chevrolet Bel Air : à lui tout seul, le nom fait déjà rêver… On l’imagine dans des teintes pastel, avec un grondant V8 sous le capot et une famille au grand complet à bord. Pourtant, de l’autre côté de l’Atlantique, cette voiture était considérée comme une populaire très accessible. Aujourd’hui, le modèle reste abordable. Est-ce le bon moment de craquer ?
Notez que nous nous attardons ici sur la deuxième génération de Bel Air qui est sans doute, la plus mythique.
La Bel Air de 1955 est la première Chevrolet d’après-guerre à proposer un moteur V8. Notez que celui-ci était optionnel, le moteur de base étant un 6 cylindres en ligne de 3,5 ou 3,9 litres. Le V8 apporte un vrai plus en matière d’agrément, de couple et de sonorité ! Même dans sa version de base, de 4,3 l et 164 chevaux, ce moulin est un régal ! Du côté des transmissions, diverses options étaient possibles, tant en version mécanique qu’automatique. Assez répandue, la boîte automatique Powerglide à… 2 rapports ne transforme pas la Bel Air en reine du dynamisme…
En 1957, Chevrolet introduit l’injection mécanique sur son V8 à la ronflante appellation « Super Turbo-Fire » ! Ne soyez pas trompé sur la marchandise : nul turbo ne prenait ses aises sous le capot… Promettant près de 290 chevaux, ce moteur métamorphosait la Bel Air en vraie sportive ! Hélas, très rares sont les modèles à avoir profité de cette option et encore plus rares sont les officines capables de régler et de fiabiliser cette usine à gaz !
Sur notre marché, les Bel Air de deuxième génération sont relativement courantes. De nombreux modèles ont été personnalisés, avec des jantes modernes, des moteurs parfois gonflés et des suspensions rabaissées. Trouver un modèle parfaitement d’origine peut être plus compliqué que vous ne le pensez ! A moins de traverser l’Atlantique : aux Etats-Unis, le choix est pléthorique !
La rouille, comme toujours, est votre pire ennemi. Heureusement, il existe des spécialistes outre-Atlantique capables de vous fournir toutes les pièces nécessaires à la reconstruction. Si la mécanique est fiable, jetez un œil aux trains roulants qui sont souvent négligés. Enfin, attardez-vous sur les pneus : à l’origine, la Bel Air était équipée de pneus à carcasse diagonale. Préférez une monte radiale, infiniment plus sûre et plus sécurisante !
Voilà une question difficile… En effet, vu la quantité d’options, de motorisations et de carrosseries (berline à 2 ou 4 portes, cabriolet, coupé, break…), il est difficile d’établir une cote fixe. D’autant que de nombreuses voitures ont été restaurées à grands frais, quitte à s’éloigner de l’origine ! Comptez entre 12.000 et 60.000 euros, selon que vous optiez pour une berline 6 cylindres de base ou un cabriolet V8 bien équipé.
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