Le magazine français « Challenges » a été le\r\npremier à annoncer la nouvelle, rapidement confirmée par Renault : la\r\nTwingo actuelle ne connaitra pas de descendance. « Challenges » cite\r\nle patron de Renault, Luca de Meo, qui explique avoir beaucoup de peine à dire\r\nau revoir à la Twingo. En raison des normes d'émissions de plus en plus\r\nstrictes en Europe, les marges bénéficiaires diminuent et cela impacte\r\ndirectement les citadines, des voitures sur lesquelles les constructeurs\r\ngagnent peu d'argent. Le PDG lui-même trouve \"un peu absurde\" que les\r\ncitadines soient les premières victimes de la politique européenne.
\r\n\r\nSmart, le partenaire disparu
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Mais ce n'est pas la seule raison. En effet,\r\nl'actuelle Twingo, qui est sur le marché depuis 2014, est née de la\r\ncollaboration entre Renault et Daimler qui se partageaient les coûts de\r\ndéveloppement. Les modèles Smart actuels ont donc été développés sur la même\r\nbase que la Twingo. Toutefois, Smart déménageant vers la Chine, Renault se\r\nretrouve à nouveau seul pour développer une nouvelle génération de citadines.\r\n\"Nous ne pouvons pas assumer seuls la construction d’un tel modèle\", complète\r\nLuca de Meo.
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