Mercedes-Benz
Le baroudeur étoilé né en 1979 se réinvente à l’ère de la mobilité électrique. Le Classe G électrique ne s’appelle néanmoins pas EQG, mais G 580 EQ. Mais s’annonce quoiqu’il en soit plutôt zélé !
1. Ferrari F40
Son nom rappelle qu’elle célébrait le quarantième anniversaire de la marque. Il s’agit aussi de la dernière voiture approuvée par « Il Commendatore », Enzo Ferrari. Ferrari entendait donc marquer le coup et le moins que l’on puisse dire, c’est que l’objectif fût atteint : à sa sortie, la F40 était la voiture la plus rapide, la plus puissante et la plus chère ! Son V8 biturbo de 2,9 litres promettait 478 chevaux, ce qui propulsait cette voiture accusant moins de 1,1 tonne grâce à l’emploi de matériaux composites, à plus de 320 km/h et à 100 km/h en moins de 4 secondes !
2. Alfa Romeo 164
Il n’y a pas si longtemps, on en voyait régulièrement arpenter nos rues. Aujourd’hui, la 164 commence doucement mais sûrement à attirer l’attention des collectionneurs. Première voiture conçue sous l’ère Fiat, la 164 tranchait avec les modèles qu’elle remplaçait (les Alfa 6 et 90) par son architecture à roues avant motrices ! Heureusement, sous le capot, il était toujours possible d’opter pour le fabuleux V6 de la marque. De plus raisonnables moteurs 4 cylindres et même un moteur 2.5 turbo diesel étaient également proposés.
3. Chevrolet Beretta
La Beretta était la petite sœur des Chevrolet Corvette et Camaro. Elle fût d’ailleurs dessinée dans le même studio. Ce coupé à deux portes plaçait son moteur en position transversale avant et animait les roues avant. Aux Etats-Unis, elle était disponible avec un 4 cylindres 2.3 l poussé à 180 chevaux qui en faisait la traction avant la plus rapide de son temps. Ici en Europe, elle séduisait surtout par son exotisme et son équipement pléthorique.
4. Mazda 626
En 1987, c’est la troisième génération de Mazda 6 que le Japonais nous présente. Dans la lignée des modèles précédents, elle ne se distinguait pas par une grande originalité esthétique (formes carrées et format tricorps) mais rassurait par sa robustesse. Notons qu’en Europe, un version plus « pimentée » fût proposée avec un beau 4 cylindres à deux arbres à cames en tête de 148 chevaux. Un break et un coupé furent également développés.
5. Peugeot 405
On a l’impression qu’elle nous a quittés hier et pourtant… La 405, c’est l’un des plus grands succès de Peugeot avec près de 2,5 millions d’exemplaires produits, une gamme très large de motorisations (de 65 à 200 ch, au fil des années et des versions), un beau dessin classique et un comportement routier de premier ordre. Restée neuf ans au catalogue, la 405 a par la suite continué sa carrière hors Europe : en Egypte et en Iran où elle fût respectivement produite par Wagih Abaza et Iran Khodro.
