Mercedes-Benz
Le baroudeur étoilé né en 1979 se réinvente à l’ère de la mobilité électrique. Le Classe G électrique ne s’appelle néanmoins pas EQG, mais G 580 EQ. Mais s’annonce quoiqu’il en soit plutôt zélé !
Pour se replacer au cœur de l’actualité, après la présentation de grandes rivales comme la VW Golf 8 ou la Seat Leon, la Renault Mégane s’offre une légère refonte. Sur le plan esthétique, les modifications se limitent à de petites touches. Comme souvent ces derniers temps, ce sont surtout les phares qui se modernisent.
Avant :
Après :
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À l’intérieur aussi, on note plusieurs évolutions. La plus marquante consiste en l’ajout d’un cockpit entièrement numérique. Devant ses yeux, le conducteur trouvera dorénavant un grand écran de 10,2 pouces. L’écran de la console central grandit, quant à lui, légèrement sur les versions de pointe pour atteindre 9,3 pouces. Il profite également des nouvelles fonctionnalités proposées par Renault et regroupées sous l’étiquette Easy Link.
Aides à la conduite
La Mégane profite de l’occasion pour s’offrir de nombreux nouveaux équipements. Comme l’assistant de conduite semi-autonome de niveau 2, la détection de fatigue ou la reconnaissance de piétons pour le freinage d’urgence automatique.
E-Tech Plug-in
Sous le capot, la plus grande nouveauté concerne l’apparition d’une mécanique hybride rechargeable. Une solution griffée E-Tech Plug-in et partagée avec le récent Captur hybride rechargeable découvert au Salon de Bruxelles (puissance cumulée de 160 ch et batterie de 9,8 kWh). Dans un premier temps, cette motorisation sera proposée sur la silhouette break de la Mégane. Renault promet une homologation sous les 40 g de CO2/km et une autonomie électrique de 50 km.
Notons également que Renault annonce l’arrivée de son nouveau petit moteur 1.0 l turbo essence de 120 ch sous le capot de cette Mégane restylée pour la fin de l’année. Mais aussi que l’offre diesel se restreint dorénavant au seul 1.5 Blue dCi 115.
