Mercedes-Benz
Le baroudeur étoilé né en 1979 se réinvente à l’ère de la mobilité électrique. Le Classe G électrique ne s’appelle néanmoins pas EQG, mais G 580 EQ. Mais s’annonce quoiqu’il en soit plutôt zélé !
Le plus surprenant, c’est la partie châssis qui se révèle plus… rigide que le coupé ! En effet, l’ablation du toit conduit généralement à une perte de rigidité. Mais pas ici. Pour réaliser cette prouesse, Pagani a en effet utilisé des matériaux de pointe tels que la fibre de carbone et le titane. Résultat : la coque est non seulement plus rigide, mais également plus légère, n’accusant que 1.280 kg sur la balance. Petite coquetterie, lorsque les conditions se détériorent, l’habitacle peut se couvrir d’un toit vitré.
1000 Nm de couple !
Et pour parfaire cette transformation, Pagani s’est également penché sur les entrailles de la bête, à savoir le moteur. Le V12 biturbo d’origine Mercedes-AMG compte aujourd’hui quelque 775 chevaux dans son écurie et surtout, développe un couple phénoménal de 1.000 Nm…
Vous en rêvez ? C’est trop tard…
En effet, les 100 exemplaires prévus sont déjà tous vendus et ce, avant même la présentation du modèle… Avec un prix de 2,3 millions d’euros hors taxes, ce bolide ne s’adressait toutefois pas à la classe moyenne.
