Mercedes-Benz
Le baroudeur étoilé né en 1979 se réinvente à l’ère de la mobilité électrique. Le Classe G électrique ne s’appelle néanmoins pas EQG, mais G 580 EQ. Mais s’annonce quoiqu’il en soit plutôt zélé !
Tout commence avec la Maserati Barchetta, qui est une voiture de course destinée à être homologuée pour la route. Hélas, cette dernière variante, à un exemplaire près, ne verra jamais le jour : De Tomaso revend Maserati au groupe Fiat ! Peu importe : Alejandro de Tomaso décide de reprendre le modèle pour sa propre firme et de troquer le V6 biturbo contre un gros V8 atmosphérique.
Redoutable sportive !
Sur papier, tout se présente pour le mieux : le châssis à poutre centrale en aluminium, la carrosserie en Kevlar et les suspensions inspirées par la F1 font belle figure sur la fiche technique. Plus fort encore, sous le capot, De Tomaso a fait ses emplettes chez BMW et en est revenu avec un beau V8 de 4 litres et 286 chevaux. Lancée en 1994, le modèle, en dépit de ses brillantes aptitudes routières, ne rencontre toutefois pas son public.
Les regrets sont éternels…
Devant le manque d’enthousiasme, Alejandro de Tomaso investit massivement dans son modèle : en 1998, il revient à ses premiers amours en troquant le V8 BMW contre un V8 Ford de 320 ch. En outre, il propose une version Barchetta, un cabriolet Spider et même un toit Targa pour le coupé ! Mais les ventes ne décollent toujours pas… En 2003, le père fondateur de la marque décède et un an plus tard, la firme dépose le bilan. 52 modèles furent produits, la Guarà fut un échec.
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