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Essai : BYD Seal 6 DM-i Touring, la Passat chinoise ?

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BYD Seal 6 DM-i Touring (2025): Essai, Prix, Configuration

Essai : BYD Seal 6 DM-i Touring, la Passat chinoise ?

Après pas moins de 10 SUV et berlines, BYD amène enfin un break en Europe. Mais cette Seal 6 DM-i Touring n’est pas électrique : elle est hybride ! Ce break peut-il espérer concurrencer les références européennes ?

Geschreven door Yeelen Möller

5 September 2025

Design

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Gebruiksgemak

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Rijervaring

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Budget

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À peine quelques mois après la petite citadine électrique Dolphin Surf, BYD revient déjà avec un nouveau modèle. Ou plutôt deux, car la BYD Seal 6 se décline à la fois en berline 4 portes et en break Touring. Il s’agit du tout premier break de la marque importé en Europe. Et du deuxième modèle hybride rechargeable, après le Seal U, avec lequel il partage d’ailleurs une partie de sa motorisation « DM-i ». Les Volkswagen Passat, Skoda Superb et autres Peugeot 508 SW doivent-elles commencer à s’inquiéter ?

Design - BYD Seal

Avec ses grands phares, ses lignes fluides et sa calandre inspirée par les… vagues, la BYD Seal 6 affiche clairement son appartenance à la gamme Ocean du constructeur. On pourrait la considérer comme une variante sage et plus familiale de la première Seal. Vous suivez ? Non ? Certes, on vous avoue que nous aussi, on a du mal avec tous ces noms ! Retenons simplement que la Seal 6 est plus compacte que la première Seal : 4,84 m de long, 1,88 m de large et 1,50 m de haut (1,51 m pour le break Touring). Soit une différence de 14 cm en longueur et 1,5 cm en largeur !

Pas plus grande que la berline

En revanche, cette version Touring n’est pas plus grande que la Seal 6 berline. C’est d’ailleurs une tendance que l’on voit de plus en plus : les breaks conservent exactement les mêmes mensurations que les berlines dont ils dérivent ! Cela permet aux constructeurs de partager davantage de pièces et donc, de réduire les coûts de production. Mais l’avantage en termes de volume reste limité : le coffre de cette BYD Seal 6 Touring n’offre que 9 litres de plus que celui de la berline (500 contre 491 litres). Ce n’est qu’en rabattant la banquette arrière (en deux parties seulement) que l’on note une vraie différence (1.535 litres contre 1.370).

Un habitacle bien construit

Et cela nous amène tout naturellement à l’habitacle. Là aussi, BYD reste sur du classique (et du partagé…), mais la qualité est au rendez-vous. Les ingénieurs ont opté pour des matériaux solides, avec des éléments souples là où c’est nécessaire. Bonne nouvelle, même les surfaces dures ne donnent pas une impression « cheap » ! Seul bémol : la partie de la console centrale contre laquelle repose la jambe droite aurait mérité un revêtement plus souple... Mais au vu de son prix, la Seal 6 n’a pas à rougir face à la concurrence.

Vue arrière du SUV électrique BYD Seal 5 bleu avec feux arrière LED distinctifs. Vue arrière de la MG5 EV, break électrique, sur une route ensoleillée. Gros plan moderne d'une voiture électrique BYD Han, phares LED élégants en gros plan.
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Gebruiksgemak - BYD Seal

Un peu moins spacieuse que la concurrence

Côté espace intérieur, la Seal 6 est moins convaincante. Si l’on veut rivaliser avec des modèles comme la Volkswagen Passat, la Skoda Superb ou – dans une moindre mesure – la Peugeot 508, il faut veiller à ce que les passagers ne manquent de rien ! Or, le coffre de la Seal 6 Touring est plus petit que ceux de ses concurrentes occidentales, tandis que la banquette arrière n’offre pas le même confort... En cause ? L’emplacement de la batterie qui relève le plancher, ce qui vous oblige à voyager les genoux relevés. Quant à la garde au toit, elle est tout juste acceptable.

Soyons honnêtes : vous n’aurez pas non plus l’impression d’être assis à l’arrière d’une Mini Cooper ! Un adulte peut toujours y trouver sa place. Mais on s’attendait à davantage de place, d’autant que les modèles chinois accordent généralement davantage d’attention au confort des passagers.

Bonne nouvelle : il reste des boutons !

Côté numérique, la BYD Seal 6 suit les tendances actuelles. Elle embarque une instrumentation numérique de taille moyenne, qui affiche les informations essentielles (et même quelques détails superflus comme un chronomètre…). En revanche, l’agencement et le style ne sont pas personnalisables. Bon point pour l’ergonomie : des boutons physiques permettent encore de régler les rétroviseurs et la position du volant. BYD n’a donc pas encore cédé à la tentation de tout centraliser sur un écran tactile. Il y a même des boutons clairement identifiables sur le volant !

Ergonomie à revoir

Le système d’info-divertissement, pour sa part, s’affiche sur un écran tactile de 12,8 ou 15,6 pouces, selon la finition. Il est compatible avec Android Auto et Apple CarPlay, et dispose de touches retour et accueil, comme sur les anciens téléphones Android. Voilà pour les points positifs. L’écran d’accueil peut être personnalisé avec différents widgets, mais ceux-ci ne donnent pas accès aux réglages plus avancés. Pour cela, il faut soit faire glisser un menu rapide du haut vers le bas, soit se perdre dans un menu général bien trop complexe… C’est confus, et cela détourne trop longtemps l’attention de la route !

Intérieur de la Polestar 2 avec volant ergonomique et affichage numérique moderne. Intérieur arrière élégant d'une voiture avec sièges en cuir gris et accoudoir central. Coffre ouvert d'un SUV moderne avec vaste espace de chargement et sièges arrière visibles.
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Rijervaring - BYD Seal

Moniteur d’attention irritant

Ce menu assez brouillon ne serait pas si problématique s’il ne fallait pas y replonger à chaque fois pour désactiver certains systèmes de sécurité. On pense par exemple au très irritant moniteur d’attention (un grand classique sur les voitures d’aujourd’hui…). Chose aussi rare que déplaisante : ce système vous réprimande à voix haute ! Que vous cherchiez quelque chose dans les menus de l’écran tactile, que vous regardiez votre passager, que vous aperceviez quelque chose en bord de route ou que votre bras passe simplement devant la caméra : vous serez rappelé à l’ordre pour manque d’attention. Et si cela se produit plusieurs fois, la voiture vous suggèrera de faire une pause ! Même si vous roulez depuis à peine dix minutes…

Hybride rechargeable avec l’accent sur l’électrique

Mais avant de nous attarder sur cette technologie omniprésente, parlons de ce qui se cache sous le capot de cette BYD Seal 6 DM-i. Cette dernière abréviation signifie Dual Mode Intelligent, le terme maison de BYD qui désigne ses hybrides rechargeables. Le système repose principalement sur son moteur électrique de 145 kW (197 ch) et 300 Nm, mais le bloc essence 1.5 litre de 72 kW (98 ch) peut également prêter main forte lorsque la pleine puissance de 156 kW (212 ch) est sollicitée.

Boost ou Comfort

Il existe en fait deux versions au choix : la version de base s’appelle Boost, avec une puissance combinée de 135 kW (184 ch) et une batterie de 10 kWh, ce qui permet une autonomie électrique de 50 km. La version Comfort bénéficie d’une batterie de 19 kWh, offrant une autonomie WLTP de 100 km sur une charge complète. Elle peut aussi être rechargée rapidement (jusqu’à 26 kW en DC) et accepte une charge deux fois plus puissante en courant alternatif, par rapport à la Boost (6,6 kW contre 3,3 kW). Étrangement, l’autonomie totale des deux versions est identique : jusqu’à 1.350 km avec une batterie et un réservoir pleins. Plus légère, la Boost compense ainsi sa batterie plus petite…

Dans la moyenne

En matière de comportement routier, la BYD Seal 6 Touring ne se distingue pas particulièrement. Elle n’est ni trop ferme, ni trop souple. Ce n’est pas une sportive, mais ce n’est pas non plus une péniche ! Le moteur essence ronronne discrètement en arrière-plan, sauf si vous appuyez franchement sur l’accélérateur, auquel cas il monte franchement dans les tours. Grâce à l’entraînement majoritairement électrique, les relances sont fluides (0 à 100 km/h en 8,5 secondes), ce qui permet de suivre le trafic sans devoir pousser la mécanique.

Une belle autonomie

Nous n’avons pas pu tester l’autonomie électrique durant cette première prise en main, mais bien la consommation en mode hybride. Dans ce cas, le moteur thermique se met en marche de temps à autre pour maintenir la batterie à niveau, ce qui maximise l’autonomie. Notre consommation a oscillé entre 4,5 et 5 l/100 km. Avec un réservoir de 65 litres, on peut donc tabler sur environ 1.200 km d’autonomie, ce qui est très confortable ! Les petits trajets peuvent ainsi être effectués entièrement en électrique, tandis que les longs trajets autoroutiers restent économiques.

Voiture BYD Atto 3 grise sur route sinueuse entourée de verdure luxuriante. Voiture électrique sur route sinueuse bordée de forêts et réserve d'eau en montagne. Peugeot 408 SW roulant sur une route rurale avec ciel partiellement nuageux.
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Budget - BYD Seal

Combien coûte la BYD Seal 6 DM-i Touring ?

La BYD Seal 6 DM-i Touring est le break hybride rechargeable le moins cher de son segment. Il est disponible à partir de 37.990 euros en version Boost avec la petite batterie. La version Comfort, dotée d’une batterie de 19 kWh, d’un écran d’info-divertissement plus grand, d’un volant chauffant, d’un chargeur à induction pour smartphone et d’un système audio amélioré, débute à 43.990 euros. Tout est inclus à ce prix-là, avec une garantie de 6 ans (et 8 ans sur la batterie et l’ensemble de la chaîne de traction). Une offre rassurante aussi bien pour les particuliers que pour les sociétés de leasing !

La concurrence ne peut tout simplement pas suivre. La (certes plus spacieuse) Skoda Superb Combi PHEV commence à 47.505 euros, la VW Passat Variant techniquement identique débute à 59.195 euros, tandis que la Peugeot 508 SW Hybrid 180 n’est disponible qu’à partir de 52.800 euros. La Seal 6 se compare donc plutôt à la Peugeot 308 SW Hybrid (dès 41.885 euros) ou à l’Opel Astra Sports Tourer Hybrid (à partir de 40.600 euros), qui offrent toutefois moins d’espace intérieur.

Verdict - BYD Seal

Nous sommes tout d’abord ravis que l’arrivée massive de nouveaux modèles chinois ne se limite plus uniquement aux SUV et berlines : ce break est donc une petite bouffée de fraicheur ! La BYD Seal 6 Touring joue la carte de la prudence dans son segment : une mécanique hybride rechargeable, un équipement assez complet et enfin, un prix plutôt attractif. La technologie embarquée pourra en agacer certains, mais compte tenu de son positionnement tarifaire équivalent aux modèles du segment inférieur, on est prêts à lui pardonner quelques défauts !

Yeelen
							Möller

Yeelen Möller

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