Jean-Francois Christiaens

23 DÉC 2019

5 sportives qui manquent cruellement de coffre !

Une allure incroyablement sexy, mais des performances de pétrolette bridée ! Ou presque… Voilà le programme que nous vous proposons aujourd’hui : ces cinq voitures-ci ont beau se montrer aguicheuses, elles n’en restent pas moins désespérément lentes !

1.      Austin-Healey Sprite Frogeye

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Austin-Healey : une marque au nom aussi ronflant que ses modèles ! Mais si les « Big Healey » étaient aussi performantes que physiques à conduire, les petites « Sprite », elles, étaient tout l’inverse ! Les Sprite sont des machines formidablement agiles, mais manquant cruellement de punch, surtout dans le cas des premières versions. Surnommées « Frogeye » en raison de leur regard de batracien, elles ne délivraient que 46 chevaux de leur petit 4 cylindres à la sonorité de lessiveuse !

2.      Opel GT

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Inspiré par le succès de la Corvette, Opel présente lui aussi une sportive à la ligne toute en courbes. Sexy à souhait, la belle Allemande s’en remet néanmoins à un 4 cylindres bien fade, qui ne donne guère de couleur à la conduite. Surtout dans sa version de base, de 1,1 l et 59 chevaux !

3.      Matra 530

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Après la Djet des années 60 qui eut l’honneur d’être la première voiture au monde à moteur central, Matra se lance dans un nouveau concept, celui de la « voiture des copains ». La 530 affiche une ligne étonnante, une configuration 2+2 places à moteur central et un toit Targa. Mais le moulin en question est un V4 d’origine Ford dont les 75 chevaux ont bien du mal à faire illusion…

4.      Pontiac Fiero

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Voilà une jolie américaine qui se démarque clairement du reste de la production nationale avec son moteur central arrière ! Sauf que ce dernier, dans la configuration de base, n’a vraiment rien dans le sac ! Il s’agit d’un brave 4 cylindres, cubant copieusement 2,5 litres, mais délivrant péniblement 93 chevaux. Autant lui préférer le V6, bien plus vivant et performant !

5.      DeLorean DMC-12

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La DeLorean, c’est un look d’enfer signé Giugiaro, des portes « papillon », une carrosserie en inox et un châssis dérivé de celui d’une Lotus ! Sauf qu’une DeLorean, c’est aussi un malheureux V6 PRV, similaire à celui des Peugeot 604 et autres Renault 30. Cette mécanique solide mais fade, délivre 130 chevaux avec un manque total d’allégresse. Dommage, cette star de cinéma (trilogie Retour Vers le Futur au cas où…) méritait autre-chose !
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